Les rendez-vous culturels chaque semaine
Dissonance à La Défense.
Écouter ? Regarder ? Faire les deux ? Dissonance une exposition qui dérange les sens.
Si vous travaillez sur le parvis de la Défense, si vous allez faire du shopping aux Quatre Temps ou si vous ne savez tout simplement pas comment vous occuper ce week-end, n'hésitez pas à faire un détour par les locaux de la Société Générale.
Se balader, voir, écouter : l'exposition « Dissonance » a envahi les tours artistiquement austères de la banque pour le plus grand plaisir de nos yeux mais aussi de nos oreilles. En effet, pour ce nouvel accrochage vous ne vous contenterez pas de regarder d'impressionnantes œuvres d'art contemporain, mais suivrez un véritable parcours musical. En choisissant David Grimal, directeur de l'orchestre symphonique Les Dissonances, comme commissaire d'exposition la Société Générale renoue avec l'un des principaux domaines de son action de mécénat : la musique classique.
Les œuvres plastiques choisies dans la Collection sont associées à des artistes majeurs de notre héritage musical. Ainsi la photographie de Patrick Messina intitulée « Le Cap 2 » résonne avec « La symphonie inachevée » de Schubert tandis que le « Mystère de l'instant » d'Henri Dutilleux nous envoûte face au « 10.10.76 » de Zao Wou-Ki.
Moderne et classique se rencontrent, se mêlent voire se dérangent. Pour David Grimal, la dissonance est un système incohérent qui nous permettrait de libérer notre conscience, de nous offrir entièrement au monde.
Aussi quand bien même le Dictionnaire Larousse déclarerait que la dissonance est le « manque d'harmonie, le désaccord entre des idées, des caractères, des sentiments. Une combinaison de couleurs qui ne s'harmonisent pas. Une absence de correspondance dans l'audition de deux ou plusieurs sons successifs ou simultanés », nous nous laisserons paisiblement tomber dans quelques incommodités sensorielles pour mieux renouer avec notre liberté spirituelle.
Alors si vous ne l'avez pas encore essayée, il vous reste jusqu'au 31 mars pour observer, écouter et admirer cette merveilleuse exposition !
Se balader, voir, écouter : l'exposition « Dissonance » a envahi les tours artistiquement austères de la banque pour le plus grand plaisir de nos yeux mais aussi de nos oreilles. En effet, pour ce nouvel accrochage vous ne vous contenterez pas de regarder d'impressionnantes œuvres d'art contemporain, mais suivrez un véritable parcours musical. En choisissant David Grimal, directeur de l'orchestre symphonique Les Dissonances, comme commissaire d'exposition la Société Générale renoue avec l'un des principaux domaines de son action de mécénat : la musique classique.
Les œuvres plastiques choisies dans la Collection sont associées à des artistes majeurs de notre héritage musical. Ainsi la photographie de Patrick Messina intitulée « Le Cap 2 » résonne avec « La symphonie inachevée » de Schubert tandis que le « Mystère de l'instant » d'Henri Dutilleux nous envoûte face au « 10.10.76 » de Zao Wou-Ki.
Moderne et classique se rencontrent, se mêlent voire se dérangent. Pour David Grimal, la dissonance est un système incohérent qui nous permettrait de libérer notre conscience, de nous offrir entièrement au monde.
Aussi quand bien même le Dictionnaire Larousse déclarerait que la dissonance est le « manque d'harmonie, le désaccord entre des idées, des caractères, des sentiments. Une combinaison de couleurs qui ne s'harmonisent pas. Une absence de correspondance dans l'audition de deux ou plusieurs sons successifs ou simultanés », nous nous laisserons paisiblement tomber dans quelques incommodités sensorielles pour mieux renouer avec notre liberté spirituelle.
Alors si vous ne l'avez pas encore essayée, il vous reste jusqu'au 31 mars pour observer, écouter et admirer cette merveilleuse exposition !